Les vertus de l’échec de Charles Pépin. De la vertu de le lire ! Par Marie-Christine Delages

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« OSER, C’EST OSER L’ECHEC »

« Il est possible de vivre son existence entière sans jamais rien oser, en ne faisant que des choix raisonnables, en attendant pour agir que les cases du tableur Excel soient correctement remplies. Mais à quel prix ? Se comporter ainsi, c’est s’interdire toute réussite d’envergure et échouer à se connaître vraiment. Même lorsque notre audace n’est pas couronnée de succès, elle est encore la preuve que nous avons le sens du risque… » Charles PEPIN

POINT DE VUE, par Marie-Christine Delages

Notre culture française accorde peu de place à l’échec, voir le stigmatise. Ainsi, en entreprise, le premier réflexe est de dissimuler l’erreur.

Pourtant, l’échec a beaucoup à nous apprendre dès lors que l’on accepte de s’y intéresser. C’est en le reconnaissant qu’il devient une expérience, un apprentissage.
Alors oui, certaines épreuves font mal, peuvent nous mettent ventre à terre !

Le challenge est alors à 2 niveaux :
1. ne pas s’identifier à l’échec et prendre cette juste distance à ce que l’on a mis en œuvre et qui n’a pas marché.
2. se donner du temps pour pouvoir s’interroger sur cette épreuve et entendre ce qu’elle a à nous dire.
Aujourd’hui, la logique serait de sortir du perfectionnisme pour aller vers le perfectionnement.

A lire !
Les vertus de l’échec, Allary éditions, 22 sept. 2016 – 137 pages, de Charles Pépin.
Philosophe, écrivain et journaliste français.
A partir d’exemples tirés du monde du sport, de la science, de la politique, du show bizz et de l’école, Charles Pépin nous propose une vision audacieuse de l’échec.

 

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